Chapitre 2: Summerparadise
~Cause your name is written in the sand~
Simple Plan feat. Sean Paul
Aujourd'hui on eut congés et j'allai avec Chloë à la plage, cette fois sans les autres, car tous sauf nous deux et Alex étaient partis avec leurs familles.
On s'assit sur le sable et je regardai les vagues.
-C'est tranquille sans les autres…, dit Chloë.
-C'est vrai…Mais pourquoi Alex n'est pas venu avec nous?
Elle haussa les épaules.
-Peut-être il a cru, qu'il n'a pas le droit…
-Il est dans notre groupe depuis deux ans, Chloë.
-Je sais, mais on sait jamais!
Silence.
-Chloë?
-Ouais?, répondit-elle.
-Il s'est déjà passé quel que chose entre vous deux?
Presque tout le monde de nos amis savait, qu'elle l'aima.
-Non…Tu sais bien comment je suis…
-Oui…
Je devrai changer de sujet.
-Viens!, dit-je et prit sa main. J'ai envie de marcher un peu au bord de la mer!
On se leva. Je sentit le sable mouillé, les rayons de soleil et l'eau de la mer sur ma peau. Je regardai la mer. Elle était belle: D'une couleur bleue ciel et assez chaude.
Soudain Chloë s'arreta.
-Qu'est…, commençai-je et vit soudain pourquoi elle ne continua pas à marcher. Dans le sable était dessiné un cœur. J'allais un peu plus près. Dans le cœur quelqu'un avait écrit: I love you, Chloë.
-C'est mignon!, dit-je.
-Ouais…
Chloë regarda autour d'elle.
-Celui qui a écrit ça doit encore être ici. Sans ça le cœur ne sera pas là.
-Tu as raison! Alors on doit le chercher!, dit-je et je sut déjà qui l'avait fait. En fait, j'étais sûr.
-Regarde, regarde! Il y a ses traces!, cria Chloë et les suivit.
Je marchai derrière elle.
-Chloë!, dit-je.
-Quoi?
-Je le vois!, je baissai ma voix. Il est vers les cailloux, je vois son t-shirt. Tu vas vers lui, pendant moi je reste ici.
-D'accord. Mais…
-Quoi?
-Mais que dois-je faire si je le vois?
-Tu lui demandes si c'est lui, qui a fait le cœur et apès vous parlez ensemble.
-Ok… Mais tu restes vraiment ici!
-Biensûr!, je la rassurai. Et maintenant vas-y!
Chloë alla vers "l'inconnu". Je regardai comment elle rougit, quand elle vit Alex. Je sourit et alla vers nos affaires. C'était mieux de les laisser seuls.